Du premier au dernier kilomètre, et avec toutes les étapes entre ces deux points cruciaux, il est nécessaire de choisir un partenaire qui soit partie prenante de votre équipe. Pour cela, il existe plusieurs points à garder en tête :

 

  • Le triangle coût, qualité et délai : le prix est un facteur déterminant dans le choix d’un transporteur, mais il n’est pas le seul. Il est important de prendre en compte la qualité et le délai de livraison. En tant qu’expéditeur, vous devez identifier les besoins de votre entreprise et les facteurs qui vous semblent les plus importants. Si vous choisissez de faire appel au transporteur le moins cher, vous risquez de sacrifier la qualité et le délai de livraison. Tous ces facteurs sont liés et interconnectés, il faut donc trouver le bon équilibre pour un bon service et un prix juste.

 

  • Les services offerts : quels services de transport votre transporteur offre-t-il ? Une seule entreprise peut-elle répondre à tous vos besoins, ou devez-vous travailler avec plusieurs organisations pour transporter vos marchandises ? Le fait de travailler avec plusieurs entreprises augmentera à la fois votre investissement en temps et votre coût. Bien se renseigner sur les services offerts permet de s’assurer que tous vos besoins sont comblés.

 

  • La fiabilité : il existe un lien direct entre la fiabilité de votre transporteur et l’expérience vécue par vos clients. Quelques jours de retard au début de la chaîne logistique peuvent se transformer en plusieurs semaines de retard, avec des conséquences peu plaisantes pour votre marque et vos clients.

 

  • La stabilité et l’expérience : depuis combien de temps le transporteur est-il présent sur le marché ? Est-il propriétaire de son parc de camions et peut-il fournir un espace d’entreposage fiable pour vos marchandises ? Comment se compare-t-il aux autres transporteurs ? Est-il en mesure d’offrir des tarifs et un service concurrentiel ? Autant de questions importantes à creuser pour répondre aux besoins de transport de votre entreprise. À long terme, il ne sera pas avantageux d’expédier des marchandises avec un transporteur qui est peu coûteux, mais instable.

 

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La loi d’orientation des mobilités (LOM) a été publiée au Journal Officiel en décembre 2019 avec un objectif clair : des transports à la fois plus faciles, moins coûteux et surtout plus propres.

Avec l’adoption de cette loi, les métropoles possèdent désormais la possibilité d’interdire la circulation des véhicules les plus polluants en instaurant des Zones à Faibles Émissions mobilité (ZFE-m).

En 2023 ce sont 11 métropoles qui appliquent déjà des restrictions de circulation et cette liste va s’allonger. En effet, la Loi climat et résilience impose à toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants de mettre en place une ZFE d’ici le 31 Décembre 2024. C’est pourquoi le Groupe Ziegler a lancé de nombreux projets et études pour répondre à ces impératifs.

 

Ziegler « verdit » sa flotte de véhicule :

– 93% de la flotte de véhicule poids lourds du Groupe Ziegler est aujourd’hui en Euro 5 et Euro 6

– En qualité de Concessionnaire Mercedes, Ziegler s’inscrit pleinement dans les avancées du constructeur en matière de développement des véhicules électriques et à l’hydrogène. Ziegler teste des carburants alternatifs compatibles avec ses motorisations tel que le B100 ou le carburant de synthèse HVO et XTL. Mais la décarbonation des flottes se heurte encore à certains obstacles. Les technologies les plus sobres en émissions, et plus particulièrement les motorisations électriques et à hydrogène ne sont pas toutes matures pour toutes les silhouettes de véhicules, notamment les plus lourds.

En outre, certains freins importants existent au verdissement du parc : le temps de recharge, l’autonomie limitée ou encore le poids des batteries, les prix à l’acquisition qui ne peuvent être reportés sur le prix du transport. Enfin les délais de commande de véhicules à motorisations alternatives sont particulièrement longs quand les chaînes de fabrication commencent à peine à se mettre en place chez les constructeurs.

 

Ziegler innove avec le Cargo bike by Ziegler :

Le vélo cargo (cargo bike en anglais) est une nouvelle solution pour la livraison des colis et des palettes avec un vélo qui utilise une remorque bâchée pour transporter et protéger les marchandises. Il peut facilement accéder à des rues étroites et restreintes, interdites aux poids lourds et ne produit aucune émission de co2.

 

Ziegler innove avec le « Transporter » by Ziegler :

Le Transporter est un véhicule de livraison sans cabine, à conduite autonome et électrique, qui est une nouvelle étape dans l’exploration de nouvelles possibilités de livraison du dernier kilomètre. En pratique, les véhicules de livraison autonomes peuvent s’insérer dans les chaînes d’approvisionnement existantes, les compléter et offrir des solutions uniques de livraisons en centre-ville.

 

Ziegler prépare l’avenir :

Ziegler teste de nouveaux outils qui lui permettent de répondre aux impératifs environnementaux tels que des solutions d’optimisation informatique de tournées de distribution. A l’aide d’algorithmes le groupe Ziegler cherche à diminuer les kilomètres pour livrer et à renforcer le nombre de clients livrés par un seul véhicule.

Ziegler s’associe aux différents acteurs de la livraison du dernier kilomètre. Loin d’être concurrents, il existe une vraie complémentarité dans les solutions offertes par ces nouveaux acteurs de la distribution au cœur des villes et les nécessaires plateformes de regroupement des marchandises (ELU : espaces de logistique urbaine) en zone périurbaine où sont installées les agences Ziegler.

Ziegler travaille activement sur le développement de ses offres multimodales permettant une approche plus environnementale des zones urbaines notamment par voie ferroviaire.

Pour autant ces transformations demandent du temps et comme l’a indiqué Madame Anne Marie Idrac, Présidente de France Logistique et ancienne Secrétaire d’Etat aux Transports lors de l’Assemblée Générale d’Union TLF, le calendrier des ZFE est incompatible avec les changements exigés par ce dispositif législatif.

 

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L’été 2022 est apparu comme exceptionnel. Les records de températures se sont enchaînés. À ce titre, nous pourrions en arriver à espérer que 2022 reste une année record, mais nous savons dorénavant qu’il nous faut nous préparer à vivre des étés de plus en plus chauds.

Dans ce contexte, une chose est sûre : le réchauffement climatique est devenu une constante que l’on ne peut plus se permettre de refuser d’affronter. Ziegler devra donc adapter ses structures notamment pour des produits fragiles comme le vin. Sous l’effet de la chaleur, le bouchon se dessèche, le vin coule et s’oxyde.

Le groupe Ziegler connaît parfaitement toute la spéculation liée au monde du vin. Les plus belles valeurs passent de main en main avant d’être achetées par le consommateur final. La “vie logistique” d’une bouteille est donc rythmée par les changements de propriétaires et connaît une multitude de lieux de stockage.

 

Les solutions du monde viticole

Les domaines viticoles les plus prestigieux ont réalisé d’énormes progrès ces dernières années en termes de traçabilité. La technologie de pointe s’invite sur les bouteilles et dans les cartons sous forme de puce connectée, d’étiquette laser, voire même via l’intégration de puce RFID.

Les conditions de conservation, au même titre que la traçabilité, font l’objet de recherche et de budgets dédiés. Un système de détection des variations de température intégré à la bouteille ne relève donc plus de la science-fiction et permettra, demain, au consommateur de s’assurer de la bonne conservation de la bouteille au chai mais aussi pendant toute sa “vie logistique”.

Une fois cette technologie adoptée par les plus grands, ce ne sera plus qu’une question de temps pour que l’ensemble des acteurs du marché l’adopte.

 

Les solutions de Ziegler 

En tant que transporteur et logisticien les investissements matériels sont particulièrement lourds à porter mais nous avons, chez Ziegler, pris la décision de les assumer. Nous nous devons en tant que partenaire d’offrir une solution réellement adaptée et ne pas faire peser sur les épaules de nos clients des contraintes que nous sommes en mesure d’anticiper.

À même de répondre à tous les besoins en termes de traçabilité, le groupe Ziegler travaille donc désormais à la transformation de son parc immobilier de plus de
300 000 m². En 2022, pas moins de 3 cellules en température dirigée ont vu le jour et plusieurs bâtiments sont en voie de transformation.

 

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Une étude de Capgemini soulignait, juste avant la pandémie de COVID-19, que 97 % des e-commerçants déclaraient que les modèles actuels de livraison du dernier kilomètre ne sont pas durables et ne sont pas applicables partout et à grande échelle. Pour répondre à cet enjeu, se sont développées de nouvelles solutions comme le click-and-collect, la livraison en point relais ou en casier sécurisé, ou l’utilisation de dark store. Autant de solutions moins contraignantes et moins onéreuses que la livraison à domicile, mais qui nécessitent un accès en centre-ville.

Les accès dans les centres-villes sont un sujet clé dans la recherche d’optimisation du dernier kilomètre. En effet, de nombreuses réglementations viennent limiter le passage des camions et les zones à faibles émissions, encouragées par la loi LOM (loi d’orientation sur les mobilités), vont obliger les transporteurs à accélérer le renouvellement de leurs flottes desservant les centres urbains. Cette obligation impose aussi une rupture de charge supplémentaire au niveau des centres de distribution urbains pour dégrouper et transborder les cargaisons vers les modes de transports alternatifs en centre-ville.

 

Les solutions pour faciliter l’accès aux centres-villes :

Les vélos et vélos électriques

Exemple avec le Cargo Bike by Ziegler : c’est une nouvelle solution pour la livraison de colis et de palettes avec un vélo qui utilise une remorque bâchée pour transporter et protéger les marchandises. Il peut facilement accéder à des rues étroites et restreintes, interdites aux gros camions, et ne produit aucune émission de CO2.

Les véhicules autonomes et électriques

Exemple avec le « Transporter » de Ziegler : c’est un véhicule de livraison sans cabine, à conduite autonome et électrique, qui est une nouvelle étape dans l’exploration de nouvelles possibilités de livraison du dernier kilomètre, moins intrusives et plus écologiques dans les centres urbains surpeuplés. En pratique, les véhicules de livraison autonomes peuvent s’insérer dans les chaînes d’approvisionnement existantes, les compléter pour les livraisons du dernier kilomètre, et offrir des avantages uniques, notamment lorsqu’ils sont utilisés dans les villes européennes encombrées.

Le partenariat avec un expert du dernier kilomètre

Ziegler a noué un partenariat avec URBY, l’expert de la livraison du dernier kilomètre avec de la marchandise en lot complet, demi-lot, et sans limite de poids. URBY s’occupe ainsi de réceptionner les semi-remorques sur leurs entrepôts, de décharger les marchandises, d’enregistrer les données et d’ordonnancer les tournées de livraison avec un véhicule à faible émission avec ou sans rendez-vous. De quoi optimiser l’accès des marchandises aux centres urbains, tout en respectant les impératifs écologiques des marques et des transporteurs.

 

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Si chaque pays est différent – on ne traite pas le dernier kilomètre de la même manière en Chine, en France ou au Canada – l’internationalisation de la production impose pour les entreprises de devoir jongler en permanence avec des contraintes locales et des enjeux internationaux pour faire les bons choix.

C’est la raison pour laquelle Ziegler est capable de traiter chaque étape allant de l’enlèvement du produit chez le client jusqu’au chargement sur le navire, de la réservation du transport maritime à la gestion des contrats en passant par l’entreposage, la douane et la manutention. Le transport maritime joue un rôle clé dans la mise en place d’une gestion efficace du dernier kilomètre.

Ainsi, une fois le navire chargé au départ de la Chine, et arrivé à Marseille, les conteneurs peuvent remonter par barge jusqu’à Lyon, avant d’être dispatchés dans toute l’Europe en train, puis par la route pour arriver à la destination finale.

 

À quoi ressemble une logistique du dernier kilomètre réussie pour les clients ?

  • Une visibilité et un suivi des commandes en temps réel
  • Une ponctualité de la livraison
  • Un transport des envois en toute sécurité
  • Des options de livraison souples qui doivent s’adapter aux exigences des clients
  • Un taux de réussite élevé pour ne passer à côté d’aucune livraison

 

Enjeu nº1 : le coût Le dernier kilomètre est l’étape la plus coûteuse du transport. Les spécialistes estiment que ses coûts sont de l’ordre de 5% à 6% du chiffre d’affaires des entreprises.

 

Enjeu nº2 : la question environnementale À l’échelle nationale, la livraison du dernier kilomètre génère 25% de gaz à effet de serre, concerne 20% du trafic routier et occupe 30% de la voirie.

 

Enjeu nº3 : l’accès aux centres-villes Les véhicules utilitaires légers utilisés pour les livraisons représentent 30% des émissions de gaz à effet de serre en ville. Il est donc indispensable de concentrer les flux pour une distribution durable en cœur de ville.

 

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Transporter des marchandises à partir du port d’arrivée sur un territoire requiert souvent la mise en place d’une stratégie intermodale. Le but consiste à transporter des marchandises par deux ou plusieurs modes de transport. En chargeant le fret dans des conteneurs intermodaux, les expéditions peuvent ainsi, par exemple, passer sans encombre d’un navire à une barge, à un train ou à un camion. C’est un mode de transport qui s’est développé en raison de la nécessité d’assurer la continuation terrestre du fret maritime en simplifiant les manutentions portuaires. Une solution intermodale est une stratégie gagnante, en particulier pour optimiser la gestion du dernier kilomètre.

 

Ses avantages sont nombreux :

  • Des coûts mieux maîtrisés
  • Une plus grande efficacité énergétique
  • Une capacité disponible facilement scalable
  • Une plus grande durabilité sur le plan environnemental par rapport au camionnage longue distance

En intégrant le transport fluvial ou le rail dans votre stratégie intermodale, ce mode de transport peut offrir des économies considérables en fonction de la longueur du trajet, notamment grâce aux coûts de carburant moins élevés avec le rail et le fluvial. Il faut aussi ajouter des frais de manutention moins importants, car les marchandises transportées par voie intermodale ne quittent pas le conteneur avant d’atteindre leur destination. Cela se traduit par une moindre manutention et, par conséquent, par des frais moins élevés.

 

Le transport combiné ferroviaire national offre des services sur un réseau dont les principaux axes sont :

Nord – Sud :

  • Dunkerque / Lille / Paris
  • Paris / Dijon / Lyon / Marseille /Perpignan
  • Paris / Bordeaux / Hendaye

Transversaux :

  • Bordeaux / Toulouse / Narbonne
  • Rennes / Lyon
  • Le Havre / Strasbourg

Le transport combiné fluvial offre des services :

  • sur le Rhône entre Marseille et Chalon-sur-Saône,
  • sur la Seine entre Le Havre et les ports de l’Île-de-France,
  • dans le Nord entre Dunkerque et Dourges

 

L’intermodalité, c’est aussi :

  • 1 million de camions en moins sur les routes en France chaque année
  • 85% d’émissions de CO2 en moins par rapport au transport routier
  • 12x moins de coûts externes que le transport routier

 

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ZIEGLER, LE PARTENAIRE DE VOTRE SUPPLY CHAIN

Doté d’un réseau partenaire de 400 dépôts de proximité et de 23 hubs nationaux, le groupe Ziegler vous garantit un service quotidien de fret palettisé vers et depuis l’ensemble des centres économiques de l’Europe.

Nos savoir-faire basés sur l’expertise Métier de nos équipes, notre technologie pour le suivi des flux et le contrôle des livraisons, ainsi que la rigueur de nos processus de transit automatisés, sont le socle de notre qualité et de notre fiabilité de service envers nos clients européens.

Avec Europallet by Ziegler, vous maitrisez au quotidien vos flux de transport dans toute l’Europe !

 

NOS ENGAGEMENTS DE SERVICE :

  • Un réseau européen intégré en porte-à-porte, garant de vos exigences de délais à l’import comme à l’export
  • Une gamme de services et de formats Palette pré-définis, permettant la maîtrise constante de vos coûts de transport
  • Un suivi complet de vos opérations de transport, répondant à vos enjeux de contrôle de la qualité envers vos clients

 

Pour en savoir plus sur nos prestations, cliquez ici 👇

Télécharger la plaquette "Europallet by Ziegler"

 

UNE COLLABORATION DE LONGUE DATE AVEC PALLETWAYS

  • 1 050 salariés en Europe
  • 45 000 palettes dans le réseau Palletways en Europe
  • 374 millions de CA

L’expertise du réseau Palletways en Europe garantit des prestations logistiques de grande qualité, fiables et sécurisées, avec des services sur-mesure adaptés à tout type de livraison.

 

Contactez Frédéric Bayart pour plus d’informations : frederic.bayart@zieglergroup.com

Derrière ces nouveaux modèles des sources d’approvisionnement se dessine aussi une réorganisation de l’économie mondiale avec une multimodalité des sources d’approvisionnements. Cette transition vers un nouveau sourcing mondial nécessitera sans doute de repenser les grandes lignes maritimes avec des conséquences importantes sur les infrastructures existantes. L’exemple le plus flagrant fut celui de l’élargissement du canal de Panama qui est un changement lié à l’évolution des nouveaux bateaux. Conçue en 2016, une nouvelle voie, plus longue et plus large, permet le passage de navires capables de transporter jusqu’à 14 000 conteneurs. Alors que 3,5 % du commerce maritime mondial passe par le canal de Panama, celui-ci a battu son record de trafic en tonnage durant l’année fiscale 2021, avec le passage de 516 millions de tonnes de fret. Au-delà des routes maritimes connues et existantes, qui devront être redimensionnées régulièrement, de nouvelles options se font jour.

 

Le passage par l’Arctique

C’est un des paradoxes du marché : alors que le transport maritime doit réduire urgemment ses émissions de gaz à effet de serre, en raison du réchauffement climatique, ce même réchauffement conduit à accélérer la fonte des glaces dans l’Arctique et à libérer de nouvelles voies de circulation qui n’étaient, jusque-là, pas praticables. L’ouverture progressive du passage Nord-Est de l’Arctique réduira les distances parcourues entre Asie et Europe, en particulier à l’horizon 2040-2050. La question du passage par l’Arctique soulève d’ailleurs de nombreuses questions pratiques, économiques et éthiques. Cette route nécessitera de nouveaux développements dans les systèmes de surveillance et d’intervention d’urgence dans les eaux difficiles. Les navires fonctionnant à des températures extrêmement basses et soumis à des charges et des forces extrêmes nécessiteront une conception, une structure et des équipements appropriés pour naviguer dans des conditions météorologiques souvent sujettes à des changements rapides. Les températures extrêmement basses sont également importantes pour les matériaux, les équipements et les systèmes utilisés dans cet environnement ; elles affectent également les performances du navire, l’équipage et le facteur humain.

La Russie fait partie des pays les plus concernés par ce sujet et souhaite faire passer le volume annuel de transit sur la route maritime arctique du Nord de 1,3 million de tonnes en 2020 à 30 millions de tonnes en 2030. Au cours des dix prochaines années, un total de 11 milliards d’euros sera investi dans des infrastructures qui rendront la route navigable toute l’année. À noter toutefois que plusieurs amateurs tels que CMA-CGM ou Hapag Lloyd se sont d’ores et déjà engagés à ne pas utiliser cette route. Entre impact environnemental, économique et image publique, les transporteurs maritimes vivent sous la pression.

 

La multimodalité et les nouvelles routes de la soie

Les nouvelles routes de la soie s’inscrivent dans la stratégie chinoise « One Belt One Road », lancée en 2013 et qui vise à assembler un ensemble de nouveaux itinéraires ferroviaires et maritimes au départ de la Chine, renforçant ainsi son influence. Compte tenu des investissements colossaux d’un tel projet, il n’y a nul doute qu’il jouera un rôle dans le développement du transport maritime au cours de la prochaine décennie. Le volet maritime des nouvelles routes de la soie s’est jusqu’à présent caractérisé principalement par de nombreux investissements chinois dans les infrastructures portuaires et des prises de contrôle dans la gestion des terminaux en Europe. En misant sur la multimodalité ferroviaire et maritime, le projet chinois vise à faciliter et accélérer le transport de marchandises pour relier l’Asie, l’Europe et l’Afrique à la Chine, avec des ports, lignes ferroviaires, aéroports et parcs industriels géants.

En face, l’Inde lance sa route de la liberté pour contrer l’influence chinoise. Le projet porté par le Japon et l’Inde s’affiche comme étant aux antipodes des routes de la soie et met l’accent sur le développement durable en s’appuyant sur des voies maritimes à bas coût avec une faible empreinte carbone. Ces nouveaux corridors maritimes pourraient connecter le port de Jamnagar, au Gujarat, à Djibouti, ou encore Calcutta à Sittwe, au Myanmar. Les projets et les influences américaines, européennes, indiennes et chinoises sont donc considérables dans la mise en place des nouvelles routes maritimes. Entre considérations géopolitiques, écologiques et économiques, la route est longue, mais façonne le commerce de demain.

 

Les routes maritimes vertes

C’est un projet encore embryonnaire, mais qui pourrait prendre de l’importance d’ici 2030, avec la création de « corridors verts ». Il s’agit d’une route maritime entre deux grands ports (y compris les escales intermédiaires) sur laquelle la faisabilité technologique, économique et réglementaire de l’exploitation de navires à émissions nulles est catalysée par des actions publiques et privées afin d’encourager la décarbonisation du transport maritime. Ces nouvelles routes maritimes représentent un laboratoire à grande échelle pour traiter la question écologique et générer des effets d’entraînement qui réduiront les émissions du transport maritime de manière significative. Si le corridor vert Asie-Europe est à l’étude, le plus prometteur est celui qui relie l’Australie au Japon. En effet, les 65 millions de tonnes de minerai de fer exportées chaque année de l’Australie vers le Japon en font l’une des plus grandes routes commerciales au monde. En tant que corridor potentiel de premier plan, cette route bénéficie de conditions de production favorables pour la production d’hydrogène vert, les entreprises actives en Australie ayant déjà annoncé des plans de construction d’une capacité d’électrolyse de l’hydrogène d’environ 30 GW d’ici à 2030.

Télécharger le livre blanc pour tout savoir sur les perspectives du marché du transport maritime entre 2023 et 2030.

 

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Il y a vingt ou trente ans, la question du dernier kilomètre semblait presque anecdotique pour les professionnels de la logistique. Cette époque est désormais totalement révolue et la manière de traiter le sujet n’a plus rien d’anecdotique.

Aujourd’hui, l’omnicanal est pleinement intégré dans les habitudes de consommation des acheteurs. Cela signifie que le dernier kilomètre ne consiste plus à acheminer un produit d’un entrepôt à un domicile ou à une entreprise. Les chaînes d’approvisionnement doivent désormais emprunter de nouvelles directions. Par exemple, les articles peuvent être expédiés directement d’un entrepôt à un magasin, puis d’un magasin à l’autre pour les commandes récupérées sur place, ou encore du magasin à la maison, à un centre de dépôt du type relais colis ou à un drive piéton afin d’accélérer les délais de traitement, le tout sans avoir nécessairement à passer par un entrepôt. Cette fragmentation des modes de livraison du dernier kilomètre nécessite, pour les acteurs de la chaîne d’approvisionnement, une très grande agilité et la capacité de s’adapter très rapidement à toutes les situations.

Face à un volume croissant de flux logistiques, le dernier kilomètre est souvent la partie la plus complexe et la plus coûteuse du processus de livraison. Attentes élevées des clients, que ce soit en B2B ou en B2C, coûts à maîtriser, empreinte environnementale, encombrement des ports, inflation galopante, restrictions locales des centres-villes… les contraintes pèsent lourd sur les professionnels de la supply chain. Et quand on y ajoute les restrictions causées par la pandémie de COVID-19, les tensions géopolitiques, les conflits sociaux ou la pénurie de personnel, on frôle la migraine !

C’est donc pour vous aider à y voir plus clair que nous avons conçu ce guide qui souligne à la fois les nouvelles tendances du marché et les solutions pour faire face aux défis rencontrés par toutes les marques qui doivent expédier des produits en France ou dans le monde entier.

 

Les enjeux du dernier kilomètre

Si chaque pays est différent – on ne traite pas le dernier kilomètre de la même manière en Chine, en France ou au Canada – l’internationalisation de la production impose pour les entreprises de devoir jongler en permanence avec des contraintes locales et des enjeux internationaux pour faire les bons choix.

 

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Dans ce livre blanc, nous abordons les enjeux du dernier kilomètre, les solutions intermodales, l’accès aux centres-villes et comment trouver le bon partenaire pour son activité.

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La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, loi du 5 septembre 2018, comprend une mesure sur l’égalité femmes-hommes. Dans ce cadre, Ziegler France a évalué l’index de l’égalité femmes-hommes.

Cet index, composé de cinq indicateurs, permet aux entreprises de mesurer où elles se situent en matière d’égalité professionnelle.

Les cinq indicateurs retenus pour calculer cet index d’égalité femmes-hommes sont :

  • L’écart de rémunération (38/40)
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles (20/20)
  • L’écart de répartition des promotions (15/15)
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé maternité (15/15)
  • Le nombre de femmes (2) et d’hommes (8) dans les 10 plus hautes rémunérations (5/10)

ZIEGLER France a obtenu, sur la base de ces cinq indicateurs, la note globale de 93/100 à l’index de l’égalité femmes-hommes pour 2022.

 

Concernant DORNACH France :

  • L’écart de rémunération (36/40)
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles (35/35)
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé maternité (INCALCULABLE)
  • Le nombre de femmes et d’hommes dans les 10 plus hautes rémunérations (5/10)

DORNACH France a obtenu, sur la base de ces cinq indicateurs, la note globale de 89/100 à l’index de l’égalité femmes-hommes pour 2022.

 

Concernant CHATEL :

  • L’écart de rémunération (INCALCULABLE)
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles (15/35)
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé maternité (INCALCULABLE)
  • Le nombre de femmes et d’hommes dans les 10 plus hautes rémunérations (5/10)

L’index de CHATEL est INCALCULABLE car le nombre de points maximum des indicateurs calculables est inférieur à 75.

 

Concernant SATRA :

  • L’écart de rémunération (INCALCULABLE)
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles (35/35)
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé maternité (INCALCULABLE)
  • Le nombre de femmes et d’hommes dans les 10 plus hautes rémunérations (0/10)

L’index de SATRA est INCALCULABLE car le nombre de points maximum des indicateurs calculables est inférieur à 75.

 

Concernant TRANS SERVICE :

  • L’écart de rémunération (INCALCULABLE)
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles (15/35)
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé maternité (INCALCULABLE)
  • Le nombre de femmes et d’hommes dans les 10 plus hautes rémunérations (5/10)

L’index de TRANS SERVICE est INCALCULABLE car le nombre de points maximum des indicateurs calculables est inférieur à 75.

 

Concernant ZIEGLER SERVICES :

  • L’écart de rémunération (INCALCULABLE)
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles (25/35)
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé maternité (INCALCULABLE)
  • Le nombre de femmes et d’hommes dans les 10 plus hautes rémunérations (0/10)

L’index de ZIEGLER SERVICES est INCALCULABLE car le nombre de points maximum des indicateurs calculables est inférieur à 75.